Dix questions pour savoir si tu es déjà devenue une potiche et 3 conseils pour t’aider à franchir la porte d’une vie heureuse où tu seras profondément aimée

Peut-on réellement rêver à autre chose que de vivre une vie heureuse ?La réponse est évidente – bien sûr tu aspires toi aussi à une vie de bonheur intense. Comment fais-tu pour faire exister ce bonheur dans ta vie ?

Peut-être fais-tu comme la plupart des femmes : tu cherches le bonheur dans une relation, par un mariage avec un homme que tu aimes, avec qui tu vas fonder une famille, avoir une belle maison, une jolie voiture, de l’argent pour des vacances exceptionnelles et des soirées entre amis. C’est super, tout simplement parfait!

Et le temps passe

Et alors le temps se met à l’ouvrage et toutes ces belles choses font désormais partie de ton quotidien. Seulement tu en veux sans cesse plus de ces belles choses, car finalement elles ne te satisfont pas réellement : une fois obtenu ce que tu voulais, ce qui semblait désirable perd de son éclat et devient terne et sans intérêt. L’ennui s’installe dans ta vie, petit à petit sans que tu t’en aperçoives.

L’ennui cherche de la compagnie et voilà ce qui se passe :

Avec le temps l’ennui se transforme en frustration, la frustration en colère et la colère en tristesse ; enfin cette tristesse cèdera la place à l’anxiété. Et tout cela se passe automatiquement, sans que tu le veuilles et sans que tu puisses le diriger. C’est à peine perceptible, mais un jour tu te retrouves avec des angoisses que tu ne comprends pas. Quelque chose de diffus obstrue ta joie de vivre. Et tu t’enfonces. Les émotions difficiles ont pris le dessus et tu te sens de plus en plus mal. Tout cela te fragilise et te fait tourner en rond. Il devient de plus en plus difficile d’échapper aux mauvais sentiments qui dominent désormais ton quotidien.

 

Allons regarder de plus près :

Si tu as tout dans la vie, alors quoi désirer ?

Les besoins fondamentaux sont satisfaits : manger, boire, un abri, des liens avec d’autres personnes – tu as déjà tout cela et en abondance.

Les besoins secondaires sont ceux qui améliorent ton quotidien de façon subjective – c’est donc tous les petits plus que tu t’offres, selon tes goûts du moment. Là aussi – tu es servie !

Pourquoi alors ce mal-être ?

Lorsque tous les besoins sont satisfaits, une autre dimension de l’existence se fait sentir en toi. Tu es plus que ton corps ; la survie est une chose, la vie en est une autre. Tu veux te sentir vivante ; tu veux grandir et vivre des expériences enrichissantes. Tu veux sentir que la vie est belle, et qu’il est facile d’aimer et d’être profondément aimée. Attendre que le temps passe ne te suffit pas. Tu veux savourer, profiter, vivre avec les autres. L’aventure, les découvertes, la curiosité, la créativité, apprendre et transmettre : c’est ce que tu veux dans ta vie – de l’épanouissement et du bonheur.

Tu vois bien – un gouffre s’ouvre entre ta réalité quotidienne et tes désirs profonds. Il est facile de comprendre que ça fait mal.

 

J’ai moi-même traversé une telle période. J’étais devenue affectivement dépendante de mon environnement : je faisais tout en fonction de mon mari, je me donnais un mal fou à être une mère parfaite, je tentais de m’adapter à une vie à l’étranger, dans une ville que je n’aimais pas, dans une belle famille adorable aux valeurs que je ne comprenais pas toujours. Bref, je faisais en sorte de ne pas déranger, de ne pas heurter et surtout de rendre tout le monde heureux autour de moi. J’étais aimée pour cela parce que je ne demandais jamais rien, je n’étais pas contrariante. Et ainsi je m’oubliais de plus en plus jusqu’à ne plus pouvoir reconnaître mes propres besoins et désirs profonds.

Mécanismes de défense

Tout naturellement donc, ton subconscient va mettre en place des stratégies pour couper court au ressenti douloureux. C’est ce qu’on appelle des mécanismes de défense. Par ces mécanismes, le gouffre et la douleur qui y est associée ne sont plus perçus comme problématiques. C’est pratique d’une certaine façon : il y a quelque chose en toi qui ne veut pas ressentir la douleur et qui trouve le moyen de l’anesthésier.

« Tout va bien alors ! » vas-tu dire.

Seulement c’est justement là que se situe le problème. Penses-tu vraiment que tout va bien parce que tu ne sens rien ? Evidemment que non ! Le sentiment de mal-être reste au fond de toi, mais tu n’en perçois rien. Et si tu ne peux pas sentir que quelque chose ne fonctionne pas bien, tu ne peux rien changer parce que ton subconscient te dit sans cesse « Mais non, tout va bien ».

Un danger pour toi

Pourquoi est-ce problématique de se défendre contre ce mal-être ?

Le danger réside dans l’intensité de ce mécanisme de défense. Plus le gouffre est profond, plus la souffrance est immense et plus la force de défense s’intensifie. Et bien sûr tu vas participer à cela puisque ces mécanismes ne sont pas extérieurs à cela. Tu peux alors t’aider de drogues, cigarettes, alcool et d’autres comportements destructeurs qui détournent ton attention de la vraie souffrance. Tu as l’impression de maîtriser la situation puisque grâce à ces comportements destructeurs et de compensation, tu sembles garder la tête hors de l’eau. La peur de devoir changer quelque chose est étouffée et en apparence tu sembles forte et solide.

Au fond de toi pourtant, ta flamme s’affaiblit. Tu te sens de plus en plus mal et tu mets toute ton énergie à réprimer ce que tu ressens. C’est ce qu’on appelle une dépression masquée, parce qu’elle est plus ou moins apparente.

Et là il est urgent de faire quelque chose. Il s’agit de chercher de l’aide pour démanteler ces mécanismes.

Et pour te permettre de faire les premiers pas tout de suite, j’aimerais de donner trois moyens.

Voici mon premier conseil :

1 : la force de vérité

Il est essentiel que tu sois honnête avec toi-même. Pose-toi de vraies questions et sois sincère, parce que

« Les apparences sont trompeuses »  ou

« Tout ce qui brille n’est pas de l’or »

C’est connu et tu peux le prendre au pied de la lettre si tu veux vivre heureuse.

Alors commence tout de suite : réponds aux dix questions en toute franchise et révèle tes sentiments vrais :

Télécharge ton pdf ici et regarde la vidéo en complément. J’y explique en détail comment tu peux travailler avec ce document.

Et voici déjà mon deuxième conseil :

Conseil 2 : le pouvoir de l’imagination

Imagine à quoi ressemblerait ta vie heureuse. Redonne vie à tes rêves et désirs de l’enfance. Tu ne le sais peut-être pas, mais les jeux de ton enfance contiennent ton potentiel. Ce ne sont pas des châteaux en Espagne, mais une force qui te projette dans un autre monde. Et cet autre monde c’est ton monde intérieur, c’est toi. Cela veut dire que tu as tout en toi – toujours prêt à être révélé.

Alors prends une feuille et un stylo et écris tout ce qui te traverse quand tu penses « vie heureuse ». N’oublie rien – ici tu peux tout demander. Laisse-toi aller à écrire tous les détails de ce qui fait ta vie heureuse dans tes rêves les plus fous. Tu verras, cela te fera beaucoup de bien.

Et souviens-toi : ce qui existe dans ton imaginaire, peut devenir une réalité, car il s’agit de ton potentiel. Donc : attention, n’oublie rien et vas jusqu’au bout de toi-même !

Ce n’est pas encore fini : pour échanger avec d’autres femmes comme toi, viens rejoindre ma communauté dans le groupe Facebook fermé et gratuit :

Et maintenant découvre mon troisième conseil :

Conseil 3 : la nécessité d’apprendre

Pour quitter le gouffre, il est indispensable d’avoir du soutien. Il est impossible d’y voir clair par toi-même – il y a des points aveugles, c’est à dire des aspects de toi-même que tu ne peux pas voir, comme l’angle mort dans le rétroviseur. C’est la construction bien faite par les mécanismes de défenses. Pour mettre au jour ces points aveugles, il te faut un vis-à-vis, quelqu’un qui sait te montrer ces points.

Ce quelqu’un n’est pas n’importe qui !

Pour les petits soucis, tu peux trouver de l’aide auprès de ton entourage. Parler à des amis aide toujours à voir plus clair et à comprendre certaines choses, peut-être même de recevoir une vision différente de ton souci.

Mais ton entourage ne peut pas t’apprendre cette vie heureuse à laquelle tu aspires au fond de toi. C’est impossible. Il y a deux raisons à cela :

  1. Tes amis ne sont pas là pour résoudre tes problèmes. Ils vont t’aider sur le chemin, tout comme toi tu peux les aider. Et il y a vraiment une limite à ce soutien mutuel : nous souffrons avec nos amis. Tes amis sont en empathie avec toi et quand tu es triste ou en difficulté, ils ne savent comment faire. Empathie veut dire littéralement « dans la souffrance ». Tes amis traversent ta souffrance avec toi. Ils ne sont pas en mesure de porter ta souffrance et de t’aider à la transcender.
  2. Aller dénicher en profondeur les mécanismes qui t’empêchent d’être vraiment toi, heureuse et aimée profondément, demande un accompagnement sérieux et professionnel. Il faut de longues études pour pouvoir mener en finesse ce travail profond. Je ne suis pas née experte dans ce domaine ; j’ai appris beaucoup de choses pour pouvoir t’aider aujourd’hui et te donner les éclairages nécessaires.

Pour certaines personnes, il est difficile d’accepter ce soutien. Pourquoi ? Quand je questionne les personnes, deux raisons me sont confiées :

  1. « Je ne suis pas malade. » C’est vrai, tu n’es pas malade lorsque tu souffres. Et pourtant tu peux te rendre malade parce que tu ne veux pas te confronter à ce qui se passe réellement au fond de toi. Tu pourrais devenir malade, parce que tu as adopté des comportements destructeurs pour ne pas ressentir une douleur. Et ça n’est pas une maladie psychique, mais bien des tentatives malheureuses de trouver une issue. Ces comportements défensifs ne t’ouvrent pas la porte du bonheur, de la force et de la santé, mais t’affaiblissent, te rendent dépendante et souffrante. Il relève donc du bon sens que de chercher de l’aide – et le plus tôt sera le mieux.
  2. « Je m’en sortirai toute seule – je ne suis pas idiote. » Veux-tu vraiment sans cesse tourner en rond et te faire croire que tu n’as besoin de personne ? Ne souffres-tu pas assez pour enfin décider de faire quelque chose pour être bien ? Faire par soi-même est une valeur très convoitée. Il y a pourtant un malentendu autour de la notion d’autonomie. Oui, il est important d’être indépendant. Cependant il est impossible de faire comme si tu pouvais exister sans ce qui t’entoure. Ton environnement a une influence sur toi. Il est sain de trouver une équilibre d’interdépendance avec tout ce qui est autour de toi. C’est ce que tu fais quand tu respires. Laisser entrer et sortir l’air te maintient en vie. C’est pareil pour la vie psychique. C’est alors faire preuve d’intelligence que de chercher du soutien lorsque tu ne te sens pas bien. En tant que spécialiste, je suis en mesure de t’ouvrir la voie et de t’offrir l’espace et la sécurité qui te permettent de sortir de l’enfer de la vie de potiche.

Si tu veux enfin prête à enlever ton masque, quitter ta vie de potiche et commencer une vie épanouissante et heureuse, j’aimerais te faire un cadeau pour t’aider à y arriver.

Mon cadeau pour toi est ton « potiche-call » personnel qui est entièrement gratuit.

C’est un entretien individuel dans lequel nous allons parler vrai pour évaluer ensemble de quoi tu as besoin et si je suis la meilleure personne à pouvoir t’aider. Réserve ta place ici maintenant pour bénéficier de ce cadeau.

Ne laisser plus ta partie radieuse seule au bord de la route. En cliquant sur ce lien, tu peux choisir le créneau libre qui te convient le mieux et je reviendrai vers toi pour te confirmer ton choix.

Je me réjouis de faire ta connaissance. J’aimerais pouvoir t’aider à vivre ta vie belle et lumineuse. Car la beauté d’une femme réside dans sa capacité à illuminer le monde par sa lumière et à diffuser amour et espérance. C’est un don que nous avons, nous les femmes !

Il me tient à cœur d’aider toutes les femmes qui n’ont pas encore quitté leur vie de potiche. Et si tu le souhaites, je t’aide à engager la voie d’une vie heureuse où tu te sentiras vraiment aimée pour ce que tu es.

A très vite donc
Christina